Spiritualité de La Troménie de Marie

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  • Dès le IVème siècle

    Dans les racines de la Bretagne

    Le Roi Gradlon, pour détourner le mal du pays de Cornouaille, donna en esprit de pénitence beaucoup de biens en aumône. "La Palud à sainte Anne, Rumengol à la Vierge Marie et Landevennec pour y prier". Le Roi chargea saint Guénolé, son ami, de bâtir la maison de sainte Anne et celle de Notre-Dame.

    Le premier pèlerinage à Sainte-Anne-la-Palud se situe vers l'an 500 après les premières entrevues entre le Roi Gradlon et saint Guénolé qui ont lieu entre 485 et 490 (A. de la Borderie, Histoire de Bretagne, T1 P326)

  • Très présente dans le cœur des bretons

    Sainte Anne

    Sainte Anne déjà réconfortait Nicolazic par ses paroles :"Ne craignez point, et ne vous mettez pas en peine : confiez-vous en Dieu et en moi, ne tardez plus à m'obéir. Tous les trésors du Ciel sont entre mes mains".

    Alors n'hésitons pas à lui obéir en nous mettant sous sa protection, la prier car elle nous met "à couvert du monde, lequel connaîtra enfin la vérité que je vous ai promis".

    Sainte Anne a porté en elle les trésors du monde, Marie et Jésus en puissance.

  • Tout à Jésus par Marie

    Saint Louis-Marie Grignon de Montfort

    Ce saint breton nous invite à la dévotion à Marie comme un chemin direct vers le cœur de Jésus : "Tout à Jésus par Marie".

    Telle est aussi l'espérance de La Troménie de Marie : puiser dans les racines vivantes de la Bretagne pour conduire les Bretons à Jésus par Marie.

  • France, fille aînée de l'Église

    Saint Jean-Paul II

    A l'occasion des 1500 ans du baptême de la France, fille aînée de l'Église, Jean-Paul II prend la peine de fêter cet anniversaire à Reims et ... à Sainte-Anne-d'Auray, où il dit "découvrir ses racines, c'est être héritier afin de devenir bâtisseur".

    Il nous encourage "à puiser dans la tradition chrétienne vécue ici depuis tant de siècles, et à transmettre le flambeau aux générations à venir".

    • Dès le IVè siecle

      Dans les racines de la Bretagne

      Le Roi Gradlon, pour détourner le mal du pays de Cornouaille, donna en esprit de pénitence beaucoup de biens en aumône. "La Palud à Sainte Anne, Rumengol à la Vierge Marie et Landevennec pour y prier. Le Roi chargea Saint Guénolé, son ami, de bâtir la maison de Sainte Anne et celle de Notre-Dame".

      Le premier pèlerinage à Sainte Anne La Palud se situe vers l'an 500 après les premières entrevues entre le Roi Gradlon et Saint Guénolé qui ont lieu entre 485 et 490 (A. de la Borderie, Hist de Bret. T1 P326)

    • Très présente dans le cœur des bretons

      Sainte Anne

      Sainte Anne déjà réconfortait Nicolazic par ses paroles :"Ne craignez point, et ne vous mettez pas en peine ; Confiez-vous en Dieu et en moi, na tardez plus à m'obéir. Tous les trésors du Ciel sont entre mes mains".

      Alors n'hésitons pas à lui obéir en nous mettant sous sa protection, la prier car elle nous met "à couvert du monde, lequel connaîtra enfin la vérité que je vous ai promis".

      Sainte Anne a porté en elle les trésors du monde, Marie et Jésus en puissance.

    • Tout à Jésus par Marie

      St Louis-Marie Grignon de Montfort

      Saint Louis-Marie Grignon de Montfort, ce saint breton, nous invite à la dévotion à Marie, comme un chemin direct vers le cœur de Jésus : "Tout à Jésus par Marie".

      Telle est aussi l'espérance de La Troménie de Marie : puiser dans les racines vivantes de la Bretagne pour conduire les Bretons à Jésus par Marie.

    • France, fille aînée de l'Église

      Saint Jean-Paul II

      A l'occasion des 1500 ans du baptême de la France, fille aînée de l'Église, Jean-Paul II prend la peine de fêter cet anniversaire à Reims et... à Sainte-Anne-d'Auray où il dit "découvrir ses racines, c'est être héritier afin de devenir bâtisseur".

      Il nous encourage "à puiser dans la tradition chrétienne vécue ici depuis tant de siècles, et à transmettre le flambeau aux générations à venir".

      Seul lieu d'apparition de Sainte Anne en France

      En 1625, Sainte Anne fait référence à une chapelle, « ruinée depuis 924 ans et 6 mois », qui portait son nom. Elle transmet à Nicolazic un flambeau pour le mener à « l’image qui vous mettra à couvert du monde, lequel connaîtra enfin la vérité de ce que je vous ai promis. »

      En mars de cette même année, Yvon Nicolazic, paysan du hameau de Keranna en Pluneret, est guidé par la lueur d’une chandelle jusqu’à son champ du Bocenno. Creusant la terre, il y découvre une statue en bois. Saint Anne lui apparaîtra ensuite plusieurs fois et lui demande de construire une chapelle en son nom. « Je désire qu’elle soit bâtie au plus tôt et que vous en preniez soin parce que Dieu veut que j’y sois honorée ».

      Ce sera le sanctuaire de Saint Anne d’Auray.

      « Ne craignez point, et ne vous mettez pas en peine : confiez-vous en Dieu et en moi, ne tardez plus à m’obéir. Tous les trésors du Ciel sont entre mes mains »

      Ste Anne

      Le drapeau de La Troménie de Marie

      POUR ORIFLAME

      L'image d'Itron Vari (Notre-Dame Marie) ...

      Itron Vari parcourt la Bretagne pour donner à nouveau la connaissance du message de son fils Jésus Christ.

      ... sur fond du Kroaz Du (herminé à 7 hermines par carré)

      Le Kroaz Du est l’un des plus anciens drapeaux de Bretagne.

      Il est présent partout : sur les bateaux, lors des événements, dans les clubs nautiques ; c’est aussi le drapeau de la ville de Nantes, de Saint-Nazaire et de l’Ile de Sein.

      Connu pour être le pavillon de la marine de Bretagne, il était officiellement porté sur toutes les mers à la poupe des navires jusqu’à la Révolution française.

      Le Kroaz Du fut donné par le Pape aux chevaliers bretons le 13 janvier 1188.
      Il s’agissait de distinguer les nations participant à la 3ème croisade.

      Les couleurs des drapeaux :

      • Noir pour les Bretons

      • Blanc pour les Anglais

      • Rouge pour les Français

      • Or pour les Italiens

      • Vert pour les Flamands

      De manière intéressante, les 3 pays bretons d’Europe possèdent un drapeau similaire :
       * Le « Kroaz Du » en Petite Bretagne
       * Le « Drapeau de Saint-Piran » en Cornouaille insulaire (croix banche sur fond noir)
       * Le « Drapeau de Saint-David » au Pays de Galles (croix jaune sur fond noir)

      La couronne d'étoiles

      • 12 étoiles

        Dans le livre de l’Apocalypse (révélation), il est indiqué que la couronne à 12 étoiles accompagne Marie.

      • 12 apôtres et 12 tribus d'Israël

        Les 12 étoiles symboliseraient les 12 apôtres mais aussi les 12 tribus d’Israël, il s’agit surtout d’une allégorie du besoin de rassembler les hommes.

      • Symbole de l'Europe

        La couronne d’étoiles rappelle également le drapeau de l’Europe mais aussi le rôle majeur des moines bretons lors de la rechristianisation de cette Europe à la fin de l’Empire Romain.

      Le chant de La Troménie de Marie

      L’abbé Guillevic a composé un chant pour La Troménie de Marie.
      Vous pouvez écouter sa mélodie, composée par Xavier Saint Raymond, en utilisant le lecteur ci-dessous.

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